Galysso

Nom : Galysso
In game : Galysso
Grade : Kraken
.

Lore :
Bonjour à tous !

Ici Galysso, ravi de faire votre connaissance. Vous anticipez une belle histoire hors du commun ? Et bien pas de ça ici !

Je suis un entrepreneur tout ce qu’il y a de plus classique. Un acharné du travail, exigeant et qui cherche toujours la rentabilité. Lorsque je prends un vaisseau, c’est pour gagner de l’argent. Une visite des paysages de Microtech, quelques pas de danse dans un bar, ou bien assister à une course ? Bon ok je dois bien l’admettre ça m’arrive. Après tout, à quoi bon être riche si c’est pour vivre malheureux ?

Je fais régulièrement des workshops ou autre rencontres favorisant le résautage. Bah oui, faut garder contact avec ceux qui ont de l’argent si on veut en profiter 😉 Si vous vous dites que je gagne de l’argent sur le dos de travailleurs acharnés, vous auriez peut-être raison dans certains contextes. Et oui, lorsque je fais du commerce, je peux pas m’assurer que les ouvriers ayant produit la marchandise ont été justement récompensés. Mais quelle différence avec celui qui ira acheter son t-shirt souvenir Drake à l’IAE ? Il n’en sait rien non plus ! Une chose est sûre, si quelqu’un travaille pour moi et qu’il est à la hauteur, on en redemandera tous les deux ! C’est ma philosophie. J’aime le contact humain autant que le business.

J’suis pas le fils à papa qui n’a pas conscience de ce que signifie le travail. Ok ok, c’est vrai je viens d’une famille riche. Mais mes parents ne m’ont pas donné d’argent jusqu’à mes 30 ans. Mon père, actionnaire majoritaire d’une entreprise, était assez patriarcal. Ma mère ne travaillait pas et il dirigeait autant dans les affaires qu’à la maison. Et lorsque venait la fin des études obligatoires il m’a dit : « Galysso, tu t’attends peut-être à hériter de mon entreprise lorsque tu seras majeur. Mais je n’hésiterai pas à donner les commandes à quelqu’un d’autre si tu ne t’en donnes pas les moyens. Voici 100’000 UEC, c’est déjà beaucoup. Va, étudie, découvre le monde, fais tes expériences. Tu n’auras aucune autre aide de notre part jusqu’à tes 30 ans. Apprends de l’école de la vie. » J’ai bien vu dans les yeux de ma mère une forme de désespoir. De quoi s’inquiétait-elle ?

J’ai toujours été un peu décalé (ça vient de mon éducation ?) alors j’ai bien réagi. J’ai commencé à étudier. C’est beaucoup 100’000 UEC m’a-t-il dit ? J’ai déjà besoin de plus et on ne me donnait rien, j’ai dû bosser pendant mes études. Les années passent, le diplôme en poche j’ai continué à travailler ensuite dans des domaines mieux valorisés. Et vous savez quoi ? J’ai fini par prendre mon indépendance ! J’ai commencé à me faire un pécule avec mon p’tit Hull A, puis mon p’tit Hull B. J’ai même travaillé pour l’entreprise de mon père ! J’avais ça dans le sang faut croire. Voyant ma progression, mon père a fini par me laisser être vice directeur de l’entreprise. J’avais 25 ans à l’époque. Plus le temps passait plus il me laissait d’indépendance. On a bien eu quelques tensions au sujet du boulot il faut l’admettre. Mais au final, il me faisait confiance depuis le début. C’est ainsi qu’à 30 ans, comme convenu, il me céda officiellement l’entreprise (non sans avoir d’abord assuré sa propre retraite soyons honnêtes, de toute façon il aime trop faire des placements d’argent pour vivre humblement).

Quelle entreprise vous demandez ?  M’enfin, CODIGA !